Zero Theorem
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Réalisateur : |
Terry GILLIAM | ||
Acteurs : |
Christoph Waltz, David Thewlis, Mélanie Thierry, ... | |||
Genre : |
Science fiction | |||
Durée : |
1 h 40 | |||
Date de sortie : |
25/06/2014 | |||
Titre original : |
The Zero Theorem | |||
Note "critique" : |
1,33 | |||
Classement 2014 |
171 / 181 |
Résumé : |
.O xx |
.O Londres dans quelques décennies. Un monde sous surveillance dans lequel règne une autorité puissante mais de plus en plus invisible grâce aux progrès de la technologie. .O. |
Xavier |
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.O. 27/06/2014 On parle d'un théorème ? Je ne peux pas passer à coter ! Mieux : il y a Christoph WALTZ devant la caméra (en général il choisit bien ses films) et Terry Gilliam derrière (ce qui laisse supposer que le film ne sera pas "conventionnel"). Résultat ? le bric à brac qui est proposé à l'écran est assez indigeste et manque cruellement d'originalité : le futur ou les publicité vous suivent et sont "personnalisées" (parlez en à Spielberg dans "Minority report"), l'employé continuellement surveillé (vous avez dit "1984" et ses successeurs...), l'amour virtuel ("Her" récemment), le duo d'homme de main en mode Laurel et Hardy, ... Le film aurait peut-être été novateur il y a 30 ans mais aujourd'hui il a du mal à passer, les dialogues étant d'une pauvreté inouïe (et les millions de fois ou Waltz répète son nom de famille écorché par son supérieur, ça fait running gag d’un scénariste débutant… ) et les décors d'un kitch qui fait pleurer (les scènes de "réalité virtuelle"… où l’on ne sait pas si l’on a des décors à 15 euros volontairement ou pas…). Le fameux théorème est très mal utilisé et le film est raté dans les grandes largeurs, le questionnement sur le sens de la vie étant digne d’un magazine à feuilleté l’été sur la plage. Bref, la démonstration est loin d’être convaincante et je vous conseillerai de passer votre tour :-/ .O. |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. Ce nouvel opus de Terry Gilliam provoque d'abord une certaine gêne à l'égard d'un cinéaste tellement à côté de la plaque sur tous les plans que l'on a envie d'arrêter la projection pour stopper la débâcle. Si le cinéaste en question n'était pas l'auteur de Brazil mais disons, celui du Cinquième élément, auquel on pense inévitablement, on se contenterait de hausser les épaules en attendant que cela se passe. Sauf que non. (...) La gêne que nous évoquions plus haut laisse très vite la place à une mélancolie tenace, lorsque Gilliam, via l'apparition de personnages tout droit sortis d'un vieux Caro-Jeunet, entend faire moderne. Waltz est déjà ailleurs. Mélanie Thierry en combinaison moulante minaude, faute de mieux. Matt Damon en guest de luxe s'amuse un peu. Soupir. .O. |
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