The Giver
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Réalisateur : |
Phillip NOYCE | ||
Acteurs : |
Science-fiction | |||
Genre : |
Jeff Bridges, Meryl Streep, Brenton Thwaites, ... | |||
Durée : |
1 h 35 | |||
Date de sortie : |
29/10/2014 | |||
Titre original : |
The Giver | |||
Note "critique" : |
1,33 | |||
Classement 2014 |
132 / 181 |
Résumé : |
.O xx |
.O Dans un lointain futur, les émotions et toute trace d'histoire ont été supprimées chez les êtres humains. seul "le passeur" a le droit de se souvenir du passé, en cas de nécéssité absolue. .O. |
Xavier |
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.O. 30/10/2014 Après en avoir entendu les pires critiques (ils ont même réussi à ne pas plaire aux bisounours de Ciné Live ce qui est un exploit) je dois dire que je n'ai pas trouvé que le film était le navet annoncé mais qu’il était "simplement mauvais" :o) Dès le départ on sent que, côté originalité des personnages principaux, il faudra repasser... le traditionnel trio ‘’1 fille 2 garçons’’ (vous avez dit Twilight ? Hunger Game ? Divergente ? pfewww ) avec l'un d'eux qui ne trouve pas sa place dans une société ou tout est prévu (oh... mais ça aussi c'est Divergente mais, après avoir vérifié, le roman dont est adapté ce film date de 1993 contre 2011 pour Divergente). Rien de nouveau sous le soleil et pourtant j'aime l'idée de réfléchir à ce que serait une société complètement "égalitaire". Le problème c'est que les scénaristes ne sont pas allés bien loin et que la mise en image est d’une subtilité gigantesque avec un monde « égalitaire » en noir et blanc et un mode « reel » en couleur. Ouaouhhhh. La découverte des sensations se fait à l’aide de plans bien moches ou tout se saccade pour montrer l’excès d’informations et lorsque sont convoqués des images d’archives, c’est évidemment en mode « 20 images par secondes » ce qui ne permet absolument pas d’en prendre plein les mirettes et de bien RESSENTIR (car ça devrait être le nerf de la guerre) les émotions qui s’en dégagent (comment le gars peut comprendre les images de la place Place Tian'anmen s’il ne sait pas ce qu’est un tank ?). Le film aurait pu être une réflexion sur l’enseignement (ne pas aller trop vite trop loin, comment amener à faire comprendre les choses puis les dépasser pour penser par soi-même…), une réflexion sur l’égalité plus poussée ("égalité" ne veut pas dire obligatoirement "uniformité", si ?) bref, il y avait de la matière et Philippe Noyce et ses scénaristes n’en font rien… Rien ? Si : ils révolutionnent les lois de la physique (deux poids différents chutent à la même vitesse et tous s’arrête en 10m seulement en freinant avec les pieds après une descente de 200 mètres, la classe !), de la SVT (pour survivre dans un désert, gravir des montagnes et traverser la banquise il suffit d’avoir de bonnes images mentales surtout quand on trimballe un bébé avec soit (mais qu’on dégaine le biberon sorti de nulle part en cas de besoin) et nous sert des relations dans le trio de « star » digne d’un épisode d’Hélène et les garçons… |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. Un scénario balourd, un héros dénué de charisme, une mise en scène aux abonnés absents. Bref, une cata intégrale couronnée par le cabotinage insoutenable de Jeff "Père Fouras" Bridges, et Meryl Streep, coutumière du fait depuis Doutes. Seul point positif : ce ratage devrait nous épargner les suites de cette tétralogie. .O. |
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