Fury ? Mais quelle bouse... J'avais lu les débats passionnés entre deux gars qui fréquentent assidument un forum commun et qui s’écharpaient entre celui qui avait adoré bien qu’il concède que la fin, très « héroïque » puisse rebuter et celui qui avait été « répugné » (notamment par le lien entre l'héroïsme et la jouissance sexuelle, avec un sous-texte clairement homosexuel (…), l'esthétique hollywoodienne du chaos sous fond de brouillard postapocalyptique et de gadoue primaire surligne l'avalanche d'images recyclées, complètement téléphonées. Et le rapport à la guerre, comme principe de réalité (la boue du réel) opposé aux idéaux, sous fond de pragmatisme anglo-saxon fort clair mais, quand même, avec en ligne d'horizon la conviction d'être du côté du bien m'a laissé médusé)

Je n'ai même pas trouvé tout ce dont parlait ce dernier (la métaphore sexuelle) mais le très classique film d'apprentissage qui voit le dactylo devenir une machine de guerre est nullissime avec morceaux de bravoure à tous les étages et soldats cultivés suivant leur facilité à jouer du piano.