12 Years A Slave
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Réalisateur : |
Steve McQUEEN | ||
Acteurs : |
Chiwetel Ejiofor, Michael Fassbender, Benedict Cumberbatch, ... | |||
Genre : |
Historique | |||
Durée : |
2 h 15 | |||
Date de sortie : |
22/01/2014 | |||
Titre original : |
12 Years A Slave | |||
Note "critique" : |
3,50 | |||
Classement 2014 |
19 / 181 |
Résumé : |
.O xx |
.O A Washington, quelques années avant la guerre de Sécession, Solomon Nothup est kidnappé et vendu comme esclave à un propriétaire esclavagiste du Sud. Le jeune Noir va devoir se battre pour rester en vie dans cet univers concentrationnaire. .O. |
Xavier |
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.O. 02/02/2014 Ce genre de film me procure toujours cette sensation bizarre : comment ce qu’il nous raconte a-t-il pu exister ??? On me dira que dans 100 ans on jugera peut-être de la même manière les inégalités nord/sud actuels ou même simplement la possibilité qu'en 2014 des gens puissent encore mourir dans la rue mais l'histoire fait froid dans le dos plus que le film en lui-même. Évidemment les scènes de torture sont dures mais mon petit cerveau s'en déconnecte assez facilement, cherchant ça et là les indices montrant que c'est « du chiqué » pour ne pas être atteint par la violence (j'ai le même réflexe dans les films gore ou devant ceux qui filent la frousse). Je trouve tout de même dommage que le film n'approfondisse pas le début de l'histoire : qui sont ces deux hommes par qui le malheur arrive ? Comment Salomon a-t-il pu se laisser abuser si « facilement » ? Pourquoi n'a-t-il aucune méfiance alors qu'on sent le coup fourré rapidement ? le commerce de "gens libres" était-il monnaie courante (la phrase de fin ne le dit pas ne parlant que du peu de personnes en étant revenues) ? Bref, "12 years a slave" est le premier film qui me plait dans cette année 2014... Il fallait donc attendre février pour que le compteur se débloque et si je n’ai pas été transporté par ce long métrage il a quand même suffisamment de qualités pour se démarquer de la meute. |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. Le réalisateur de Hunger y témoigne encore de sa puissance de mise en scène dans sa manière de traduire l'enfermement et la souffrance vécue par son héros en jouant sur la longueur étouffante des scènes, en évitant un chantage simpliste à l'émotion. À côté de cette maestria, on regrette l'écriture sans nuances de certains personnages et trop de dialogues signifiants. Décidément, McQueen préfère les images aux mots. .O. |
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