The Dark Knight Rises

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Réalisateur :
  Christopher NOLAN
Acteurs :
  Christian Bale, Gary Oldman, Tom Hardy, ...
     
Genre :
  Aventures
Durée :
  2 h 40
Date de sortie :
  25/07/2012
Titre original :
  The Dark Knight Rises
 
Note "critique" :
  2,50
 Classement 2012
  31 / 101

Résumé :
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Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent.
Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane… (à changer)
.O.

Xavier
@ @

.O.
31/07/2012
Alors voilà LE Batman ultime ? Celui qui dépasse tout ce qui a été fait et qui finit en beauté la trilogie de Christopher Nolan ? Je vais encore passer pour celui qui "n'aime jamais rien" mais je suis rentré prêt à être convaincu dans la salle de cinéma... avant de ressortir 2h40 plus tard en étant plus déçu qu'autre chose.

Tout avait pourtant bien commencé avec ce Bruce Wayne vieillissant et ce Catwoman qui ne se nomme pas mais fait son petit effet... ces policiers qui sont "contre" Batman comme le laissait présager la fin de l'épisode précédent et cette ville qui, sans bruit, sombre dans le chaos. C'est la première heure du film, toute en maitrise, qui lance la réflexion sur un monde ou les inégalités se creusent ce qui ramène à la fin de la royauté avec Versailles qui s'amuse et le peuple qui crève de faim...

Le retour aux affaires de Batman et la difficulté à affronter quelqu'un qui est "mort de faim" quand on s'est laissé vivre est bien trouvé et les petites poursuites dans Gotham City sympathique. À ce moment-là, on se dit que le film va tenir toutes ses promesses mais c'est le contraire qui se passe, le film partant en mode "super-héros" alors que justement, ce que j'aime dans Batman, c'est qu'il n'a pas de super pouvoirs mais juste de super joujoux.

On passera sur les nouvelles techniques médicales (on a jamais mieux fait qu'en étant enfermé dans une prison !) pour râler sur la façon évidente dont le super héros se sortira du traquenard (alors que l'idée de "toujours laissé de l'espoir aux gens pour mieux les contrôler" aurait été à creuser) et dont le film avancera avec ses gros sabots pour finir en un grand n'importe quoi autant prévisible que grand-guignolesques (entre des gars qui attaquent avec leurs matraques et leurs pistolets et des bagnoles ultra-perfectionnées à la force de frappe terrifiante, qui gagne à votre avis ?).

Cette seconde partie est indigne de la première et ce n'est pas la fin, qui doit nous retourner avec une révélation qui ne sert à rien, qui changera la donne, les trois dernières séquences étant d'une niaiserie déprimante.

Bref, il y a du très bon dans ce film mais également du très mauvais... quand on sait que les frères Nolan ont travaillé sur le scénario et qu'ils ont déjà fait des films du niveau de "Memento" ou "Inception", on se dit que la Warner a du mettre son nez dedans et bien savonner la planche car cette seconde partie n'est pas du niveau habituel des frangins et, pour reprendre une des expressions favorites de mon petit neveu : "c'est triste" !.
.O.


Première :
¤
 
Studio / Ciné Live :
# # # # (+)
.O.
Si le réalisateur utilise adroitement les codes du genre dans lequel The Dark Knight Rises s'inscrit (la superproduction basée sur des bandes dessinées), il ose parallèlement faire voler en éclats ces mêmes codes: jamais Batman n'aura été si fragile, perdu et humain. Nolan le déconstruit avec autant de mélancolie que de sauvagerie et le met à nu pour mieux lui permettre de se relever. Il offre, au passage, une belle méditation sur le mythe du superhéros et sa symbolique. Il aime aussi capter les visages de ses acteurs et leurs regards blessés: son film, étonnamment, est très intimiste. Ce qui ne l'empêche pas d'être un spectacle impressionnant montant graduellement en puissance jusqu'à un final saisissant. 
.O.


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