Les enfants de Belle Ville
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Réalisateur : |
Asghar FARHADI | ||
Acteurs : |
Taraneh Alidoosti, Babak Ansari, Faramarz Gharibian, ... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 30 | |||
Date de sortie : |
11/07/2012 | |||
Titre original : |
Shahr - Eziba | |||
Note "critique" : |
3,16 | |||
Classement 2012 |
3 / 101 |
Résumé : |
.O xx |
.O Akbar vient tout juste de fêter ses 18 ans mais soupçonné par la justice d'avoir commis un crime à l'âge de 16 ans il est incarcéré et condamné à la peine de mort. Ala, un ami, fait tout pour empêcher l'execution en demandant au plaignant de pardonner. .O. |
Xavier |
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.O. Cette précision à son importance et j'aurai bien aimé voir ce film au moment de sa sortie pour ne pas l'étalonner à son successeur qui m'avait tant plu l'année dernière. De fait, on retrouve la pâte du réalisateur ET du scénariste puisque les deux postes sont assurés par le même homme. Des histoires "ouvertes", qui font réagir mais empêche la facilité et le jugement hâtif, tout ceci se retrouve dans ce film qui ne manquera pas de faire cogiter ses spectateurs sur la façon dont chacun agirait à la place de tels ou tels protagonistes. Tous les personnages sont intéressants et les travers de la société iranienne sont pointés avec finesse. La religion et l'interprétation des textes qui se rapprochent des proverbes (qui permettent de prendre celui qui vous arrange à l'image d'un "les contraires s'attirent" ou "qui se ressemble s'assemble") ne sont pas en reste et le film réussit à se passer quasiment du personnage principal de l'histoire sans pour autant le faire oublier. Bref, si "les enfants de belle ville" est un petit cran en dessous d'"une séparation", cela vient peut-être l'absence de l'effet de "surprise" et de "l'habitude" que je me suis fait à la façon qu'à le réalisateur de traiter ses histoires, mais si vous voulez voir le meilleur film de l'été 2012, ne cherchez pas plus loin, vous l'avez devant vous :o) |
Première :
¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # # (+) |
.O. La vie d'un jeune homme est en jeu. Il a tué celle qu'il aimait. Il va être exécuté, à moins que sa soeur et son ami n'obtiennent le pardon du père de la victime. Le temps presse, la tension monte. C'est 24 heures chrono à Téhéran, avec des personnages tombés du Coran, des tumultes philosophiques, des battements de coeur qui ne se disent pas et l'Iran qui s'esquisse derrière une porte écaillée. Bleue. Comme l'espoir. Ou l'enfer. .O. |
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