L'amour dure trois ans
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Réalisateur : |
Frédéric BEIGBEDER | ||
Acteurs : |
Louise Bourgoin, Gaspard Proust, Joey Starr, ... | |||
Genre : |
Comédie | |||
Durée : |
1 h 35 | |||
Date de sortie : |
18/01/2012 | |||
Titre original : |
L'amour dure trois ans | |||
Note "critique" : |
2,08 | |||
Classement 2012 |
72 / 101 |
Résumé : |
.O xx |
.O Marc Marronier, redoutable critique littéraire germanopratin, vient à nouveau de divorcer et sait désormais que l'amour ne dure que trois ans. Sa rencontre avec Alice va bouleverser ses certitudes. .O. |
Xavier |
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.O. 04/02/2012 Le film ne me disait pas grand chose mais la carte illimitée associée à un horaire qui me convenait bien m'ont encouragé à donner une chance à ce film. Le résultat est passable mais quelques idées du film font mouche à l'image de cette réflexion sur les délais de réponse à un mail/texto et notre habitude aujourd'hui d'attendre des réponses qui arrivent dans l'heure alors qu'il y a peu on conversait par lettre avec des délais d'attente bien supérieurs. Pour le reste, le film est une succession de scénettes rarement convaincantes et si le casting est sympa (Louise Bourgoin, Gaspard Proust, Joey Starr, Jonathan Lambert, Frédérique Bel…) il ne donne rien de vraiment surprenant. Bref, si l’amour dure trois ans et se transforme petit à petit en quelque chose d’autre qu’il sera temps, un jour de découvrir, ce film ne met pas une heure avant de lasser avec ses aventures attendues et vraiment passables. Suivant ! |
Première :
¤ ¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # (+) |
.O. Après avoir confié à Kounen son 99 F, Beigbeder s'attelle à l'adaptation d'un autre de ses romans où un critique (Gaspard Proust, parfait) voit sa certitude sur la durée limitée des histoires d'amour mise à mal par un coup de foudre. On y trouve de jolis moments de comédie romantique et des idées de cinéma. Mais le réjouissant mauvais esprit frondeur qui caractérise l'auteur fait place à un étonnant filet d'eau tiède, trop gentillet (Marc Levy, qu'on asticote en prenant soin de l'inviter en guest) pour transcender son sujet et avec pour seule malice un petit jeu consistant à désamorcer les critiques à venir. On ne sent jamais l'urgence censée animer un néoréalisateur. .O. |
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