Inside
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Réalisateur : |
Andrés BAIZ | ||
Acteurs : |
Quim Gutiérrez, Martina García, Clara Lago, …. | |||
Genre : |
Thriller | |||
Durée : |
1 h 35 | |||
Date de sortie : |
04/07/2012 | |||
Titre original : |
La Cara Oculta | |||
Note "critique" : |
2,16 | |||
Classement 2012 |
40 / 101 |
Résumé : |
.O xx |
.O Adrian et belen sont très amoureux mais, un jour, Bélen soupçonne Adrian de la tromper et décide de le tester... la suite du résumé est en "spoiler" pour éviter de vous gacher le film, je vous déconseil fortement de la lire si vous voulez apprecier au maximum votre séance... en disparaissant. Elle s'enferme dans une pièce secrète et blindée qu'elle seule connait. Mais, dans sa précipitation, elle oublie la clef et se retrouvée piégée. .O. |
Xavier |
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.O. Sans être bilingue, le titre original ("La Cara Oculta") donne suffisamment d'indications pour apprécier ce film qui aurait été bien meilleur s'il s'était affranchi des habituelles (mauvaises) ficèles usées jusqu'à la corde dans ce genre de film... Les réactions les plus glaçantes sont les plus naturelles et lorsqu'elles apparaissent dans le film, la question "et moi, qu'aurai-je fait ?" marche à plein : de l'idée de départ qui me laisse perplexe, à la réaction de la fille qui m'a bien fait marré, tout cela contrebalance les rebondissements attendus et les histoires d'amour à deux sesterces. Bref, si vous aimez vous faire peur au cinéma autrement qu'en voyant des zombies se faire décapiter ou des attaques d'aliens, ce "Inside" devrait vous combler. Si ce n'est pas le cas, vu le peu de bons films en ce mois de juillet et le temps pourri, je vous conseille quand même ce petit film qui vous fera passer un bon moment (mais, pitié, ne regardez pas la BA !!!). |
Première :
¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # (+) |
.O. Après une première moitié (passée à bénir, avec une ironie marquée, la bêtise des héroïnes de cinéma de genre sans laquelle celui-ci n'existerait pas !) (...), le film effectue une salvatrice volte-face. Et orchestre une série B délicieusement sadomasochiste sur fond de rivalité amoureuse. Où la mise en scène, enfin drainée par un réel point de focalisation dramatique, élabore une ambiance anxiogène poisseuse et perverse. .O. |
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