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Réalisateur : |
Kenneth BRANAGH | ||
Acteurs : |
Chris Hemsworth, Natalie Portman, Anthony Hopkins, ... | |||
Genre : |
Aventures | |||
Durée : |
2 h 10 | |||
Date de sortie : |
27/04/2011 | |||
Titre original : |
Thor | |||
Note "critique" : |
2,16 | |||
Classement 2011 |
25 / 104 |
Résumé : |
.O xx |
.O Banni du royaume pour avoir provoqué la guerre, Thor, fils du Dieu Odin, est envoyé sur terre comme simple mortel. Il y fait la connaissance d’une scientifique avec laquelle il mène le combat contre son frère, prêt à détruire le monde. La mythologie nordique revisitée par Marvel. .O. |
Xavier |
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.O. 03/05/2011 Je ne connaissais rien de ce super héros mais j’avais lu de bonnes critiques sur le film… je me suis donc laissé tenter par une séance en 2D qui m’a permis de faire connaissance avec ce grand blond qui ne se prend pas pour n’importe qui et qui va devoir apprendre l’humilité aux cotés de Natalie Portman ! Le résultat est assez solide mais il manque un ingrédient très important pour quelqu’un qui ne lit pas de comic’s depuis ses 12 ans et ne fait que découvrir ce monde au cinéma : du Fun ! Si le duo Chris Hemsworth dans le rôle du grand blond (presque) invincible / Anthony Hopkins en papa « pas... content » est vraiment convaincant, on ne peut en dire autant des autres acteurs du films qui font soit sortie d’un jeu vidéo en mode « second rôle donc on se fiche comme de l’an 40 (les partenaires de Thor qui ressemblent plus à des marionnettes bioman qu’autre chose), soit vraiment cruches pour les simples terriens, Nathalie Portman semblant s’être égarée en sortant du studio de « Black Swan » ! |
Première :
¤ ¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # (-) |
.O. Oublié le viking tonitruant, braillard et volontiers antipathique du comics, place à un look de surfeur californien bodybuildé, finalement bien gentillet sous sa grande carcasse. (…) A l'écran, tout cela donne un mélange étonnant d'ennui et de laideur. Ennui parce qu'on a l'impression d'avoir déjà vu chaque scène mille fois ( Iron Man...) et en mille fois mieux. Laideur parce qu'on souffre visuellement à la découverte de tous les moments de baston, avec cette impression étrange qu'y sont plus que maladroitement mêlées images en 2D et 3D. (…) on s'ennuie ferme tant les deux longues heures de ce film manquent de rebondissement, de puissance et de relief. (…) .O. |