L'Homme qui voulait vivre sa vie
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Réalisateur : |
Eric LARTIGAU | ||
Acteurs : |
Romain Duris, Marina Foïs, Catherine Deneuve, ... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 55 | |||
Date de sortie : |
03/11/2010 | |||
Titre original : |
L'Homme qui voulait vivre sa vie | |||
Note "critique" : |
2,66 | |||
Classement 2010 |
90 / 123 |
Résumé : |
.O xx |
.O Un acte, soudain et violent, bouleverse la vie de Paul, la trentaine, marié, deux enfants, belle réussite professionnelle. Un coup de folie qui lui donne l’occasion de recommencer sa vie, celle dont il rêvait, sous une autre identité. Renaissance et redécouverte de soi : une adaptation du roman de Douglas Kennedy .O. |
Xavier |
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.O. 08/11/2010 Le bouquin est parait-il assez marquant… son adaptation au cinéma, malgré l’aide de l’écrivain qui dit dans toutes les promos qu’enfin on l’a adapté sans le dénaturer, me laisse perplexe quant à la qualité du matériau d’origine. Tout quitter, prendre un avion et recommencer ailleurs une vie qui serait plus conforme à ce qu’on espérait quand on avait 15 ans ? L’idée de départ du film est séduisante mais le traitement du film complètement opposé à l’idée que je m’en faisais. Les personnages secondaires sont guère meilleurs malgré un casting qui laisse attendre de bonnes choses : Marina Foïs, la femme qui, elle aussi, aimerait vivre sa vie (!) Catherine Deneuve en associée qu’on aperçoit à peine et Niels Arestrup qui a une « présence » folle mais dont le coté ambigu n’est pas assez développé. Partir, tout quitter, espérer ne jamais être retrouvé… c’est un joli programme pour un gangster en cavale ! Plonger un gars lambda (qui a du regarder quelques épisodes de l’excellente série « Dexter » pour gérer au mieux un cadavre qui lui tombe sur les bras ;-) ) dans cette situation aurait du permettre un regard acéré sur ce qui compose « une vie » selon nos normes « habituelles », mais le réalisateur ne trouve pas le rythme et nous sert un pseudo suspens que ce soit sur l’explication donnée à sa femme et son fils ou à la femme auprès de qui il se reconstruit. Bref, le film se cherche et ne trouve pas sa voie… une façon de filer la métaphore avec la vie de son héros ? je dirais plutôt un aveux de faiblesse de la part de son scénariste et du réalisateur. Dommage, il y avait vraiment de quoi faire un très bon film :-s |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. La caméra de Lartigau ne lâche pas Duris, maintenant fébrile, traqué, hanté, brûlant d'intensité. La mise en scène, sensorielle, funambule, suspend l'intrigue entre les faïences du ciel et les brisures de l'homme, la transparence de l'océan et les ténèbres intimes d'un voleur de vie. Le roman de Douglas Kennedy était palpitant, en l'adaptant Éric Lartigau a inventé le thriller flamboyant. .O. |
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