Invictus

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Réalisateur :
  Clint EASTWOOD
Acteurs :
  Morgan Freeman, Matt Damon, Scott Eastwood, ...
     
Genre :
  Comédie dramatique
Durée :
  2 h 10
Date de sortie :
  13/01/2010
Titre original :
  Invictus
 
Note "critique" :
  2,33
 Classement 2010
 

81 / 123


Résumé :
.O

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Après sa longue incarcération, nelson mandela est devenu président d'Afrique du Sud. En 1995, afin d'unifier le pays encore déchiré par l'Aparthied, ses crimes et un racisme toujours présent, il mise sur la coupe du monde de rugby. Il reçoit le soutien du capitaine de l'équipe nationale des Springboks. A travers un personnage quasi mythique, un message de tolérance, par le réalisateur de "Million Dollar Baby".
.O.

Xavier
@

.O.
24/01/2010
Et voilà la dernière livraison de papa Clint, l'un des cinéastes américain qui possède la carte "gold" qui permet de faire des entrées en France juste sur son nom.Il faut dire que le mister a de jolis films à son palmarès mais je n'adhère pas toujours à sa production comme en témoigne mon désamour pour "Gran Torino" qui m'a vraiment exaspéré et m'a fait regardé l'affiche de cet "invictus" sans grand intérêt lorsqu'elle a commencé a être partout dans le métro.

Je me suis quand même décidé à aller voir ce film pour plusieurs raisons : Nelson mandela est un personnage marquant de la fin du XXeme siècle, j'aime le rugby qui sert de toile de fond au film avec la coupde du monde de 1995 en toile de fond et Morgan Freeman est un acteur que j'apprecie tout particulièrement.

Le résultat ? malheureusement conforme à ce que je craignais : ne cherchez pas de finesse dans l'histoire... nelson Mandela est presenté comme un messi qui a des bonnes idées que les autres n'ont pas (ce que j'aurais tendnace à croire) et qui va les imposer à tout le monde (dans son camp comme dans celui de ses adversaires) uniquement grâce à son aura ! Hum... là je suis plus sceptique et je pense que le bonhomme a du s'employer pour arriver à convaincre ses collaborateurs qu'il n'allait aps dans le mur et que la méfiance des afrikaners a son égard n'a pas été si "facile" à vaincre.

C'est là que le film tombe dans le monde des bisounous : le personnage de Matt damon, censé representé François Piennar, le capitaine des Springboks, l'équipe de rugby d'Afrique du Sud grande fierté des afrikaners et detesté des autres est d'une fadeur déconcertante. Sa famille n'étant pas vraiment progressiste, on se demande comment il se retrouve à faire l'intermédiaire de Mandela auprès de l'équipe sans aucune réticence (alors qu'on nous montre des coéquipiers plus ou moins retord). La place du seul noir sud africain dans l'équipe est aussi "oublié" : là pour ses qualités ? là pour la galerie ? comment ses coéquipiers le percevait il ? on n'en saura pas grand chose !

Si le film réussit quelque chose, c'est juste de nous montrer comment le sport permet aux hommes de se sublimer et de faire d'une équipe moyenne une grande équipe quand tout un pays pousse derrière elle et que quelques circonstances favorables s'en mêlent (mais chuttt, il faut choquer personne donc il ne sera pas évoquer les quelques polémiques nées après la demi-finale et la finale !). Eastwood fait un film prémacé et utilise les gardes du corps de nelson mandela pour nous expliquer le "taux de progression" de l'opération "nation arc en ciel" : bien separés au départ, bien mélangé a la fin... clap de fin et tout le monde est heureux.

Les suites de cette coupe du monde ? ou en est-on 15 ans plus tard ? Evidemment ce film n'est pas un documentaire mais ce sont des questions qui auraient pu être soulevée... on voit bien en France ce qu'a donné la coupe du monde de foot en 1998 avec ses defilés dans les rues pour soutenir la nation qui gagne avant de voir quelques années plus tard la Marseillaisse sifflées et les slogans "France Black Blanc Beurs" oubliés ;-s On aurait aussi pu envisager dans le film les conséquences d'une défaite prématurée des Springboks car, sans refaire l'histoire, cela aurait pu avoir des conséquences nationales desastreuses....

Bref, "Invictus" aurait merité d'être recentré sur le personnage de Mandela, sur la force de caractère de ce bonhomme qui après avoir été enfermé si longtemps arrive encore à parler de pardon, plutôt que sur la relation "Piennar/Mandela" qui est a sens unique dans le film et donc san intéret.

P.S. : Cela ne choquera peut-etre pas ceux qui ne connaissent pas le rugby mais entre les actions de jeu filmées n'importe comment et les règles non respectées, Eastwwod se plante royalement... en même temps, demander a un americain de filmer de façon credible du rugby, c'ets comme demander à un français de filmer du cricket mais, quand même, les ricains ont suffisament de conseillers techniques en tout genre pour éviter ce genre d'abhération (et nous mettre des Samoans au physique de fillette c'est assez rigolo mais pas très crédible...).
.O.


Première :
¤ ¤ ¤
 
Studio / Ciné Live :
# # # #
.O.
Eastwood parvient à toucher à l'intime en laissant entrer un lyrisme assumé et des nobles sentiments propres à bâtir la mythologie.
.O.


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