8 fois debout
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Réalisateur : |
Xabi MOLIA | ||
Acteurs : |
Ricky Gervais , Jennifer Garner , Jonah Hill ... | |||
Genre : |
Comédie dramatique | |||
Durée : |
1 h 45 | |||
Date de sortie : |
28/04/2010 | |||
Titre original : |
8 fois debout | |||
Note "critique" : |
2,00 | |||
Classement 2010 |
116 / 123 |
Résumé : |
.O xx |
.O Elsa et Mathieu, deux voisins, la même galère : des petits boulots au noir, l'expulsion qui guette, des entretiens d'embauche humiliants et inutiles. Chacun vit la chute, la honte, la dévalorisation de soit et pourtant, ce n'est pas faute d'essayer... Une comédie sociale douce amère, pleine de tendresse pour ces personnages inadaptés au monde économique actuel. .O. |
Xavier |
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.O. 30/04/2010 Un jeu de mot facile consisterait à dire que le sujet était… casse-gueule. Facile ? Peut-être… mais tellement vrai ! Je ne suis pas certain que Xabi Molia, dont c’est le premier film, ait les épaules pour tenir un film qui flirte avec plusieurs genres, que ce soit la comédie romantique, le film « d’imposteur », la chronique sociale, le road-trip etc… Un mélange qui avait tout pour être explosif s’il avait été bien mené, mais qui se dégonfle très rapidement pour donner un film sans saveur bien trop looooong. Il faut dire que Julie Gayet et Denis Podalydès errent au milieu de cette histoire, sans trop savoir ce qu’on leur demande de faire ce qui, au début, sert leur personnage un peu paumé qui se laisse porter par la vie sans trop savoir de quoi demain sera fait.. La « démerde » au jour le jour, les petits mensonges pour s’en sortir, voilà ce que tente de montrer le film mais devant tant d’apathie, je suis tombé dans le cycle infernal « un regard sur ma montre toutes les cinq minutes » en attendant la fin comme une délivrance. Bref, vous l’aurez compris, « 8 fois debout » ne marquera pas ce moi d’avril déjà bien morne… Il réjouira les amateurs de proverbes par ces deux trois citations à recaser lors d’un dîner, dont le désormais célèbre « celui qui a atteint la cible a rater tout le reste » (oui, je sais, ça laisse songeur). |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. Le portrait de deux losers magnifiques évite, sur le fond comme dans la forme, les clichés. Même dans les situations les plus noires, la lumière perce toujours. Molia évite les redondances, ne filme jamais de manière triste des situations tragiques. (...) Toujours surprenant, 8 fois debout tient en permanence sur un fil joyeusement dépressif sans trébucher. .O. |
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