Bronson
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Réalisateur : |
Nicolas WINDING REFN | ||
Acteurs : |
Tom Hardy, Matt King, James Lance, ... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 30 | |||
Date de sortie : |
15/07/2009 | |||
Titre original : |
Bronson | |||
Note "critique" : |
2,33 | |||
Classement 2009 |
96 / 111 |
Résumé : |
.O xx |
.O En 1974, Michael Paterson, boxeur sous le nom de Charles Bronson, est condamné à sept ans de détention pour un braquage foireux avec une arme bricolée. Depuis, il n'a quasiment pas quitté la prison et a passé trente ans en isolement.D'après des faits réels, le portrait d'un personnage violent, complexe et tourmenté, devenu poête, peintre et ecrivain. .O. |
Xavier |
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.O. 16/07/2009 J’avais entendu parler de ce film il y a un petit moment, un des habitués du forum business sur Allociné ayant eu l’occasion de le voir en avant première et nous en ayant dit le plus grand bien. Le résultat n’est malheureusement pas à la hauteur des espérance de ce film qui part un peu dans tous les sens sans savoir quoi faire de ce Bronson, censé être le détenu le pire d’angleterre. Comme d’habitude dans ce genre de film, on apprend que le bonhomme (qui existe vraiment) est tombé pour une petite histoire qui ne méritait pas tant et que c’est ensuite qu’il a mal tourné…. C’est marrant, ça me rappelle un film vu cette année (« Ne me libérez pas… je m’en charge ») qui avait le même point de départ même si le cheminement du personnage principal était complètement à l’opposé de ce Bronson. Que raconte le film ? Des bastons en veux-tu en-voila, un peu à la « old boy » et une tendance à se prendre pour « Orange mécanique », ce qui ne lui réussit pas (en même temps, je ne suis pas fan de ce dernier). Bref, je n’ai pas du tout accroché à ce film qui n’a pas réussi à me faire pénétrer dans l’univers de ce gars qui doit quand même avoir une drôle vision de la vie pour en être arrivé là ou il en est. |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. Nicolas Winding Refn (Pusher), l’esthète, a donc peint le taulard dans toute sa splendide complexité et sa bouffonnerie démesurée, lui consacrant une sorte d’opéra destroy kubrickien, dont la violence sublimement théâtralisée scotche et ne laisse pas indemne. .O. |
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