Boy A
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Réalisateur : |
John CROWLEY | ||
Acteurs : |
Andrew Garfield, Peter Mullan, Katie Lyons, Shaun Evans, ... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 40 | |||
Date de sortie : |
25/02/2009 | |||
Titre original : |
Boy A | |||
Note "critique" : |
2,83 | |||
Classement 2009 |
35 / 111 |
Résumé : |
.O xx |
.O Un jeune home sort de prison à la suite d’un meurtre commis dans son enfance. Il est pris en charge par un assistant social qui l’aide à se reconstruire. Une nouvelle vie, anonyme, bousculée par les souvenirs du passé et les mensonges du présent. Une adaptation du roman « Jeux d’enfants » de Jonathan Trigell. .O. |
Xavier |
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.O Le résultat ? un film a moitié convaincant, la faute au sempiternel "je veux équilibrer les choses" qui est assez gonflant... en l'occurence le tuteur du héros, parfait pour son petit protégé, n'a pas su faire avec son fils ce qu'il fait avec les autres ce qui, bien evidemment, lui retombera sur la gueule. Damned, pourquoi avoir choisit cet axe d'attaque alors que de nombreux autres étaient possible, comme par exemple un parallele moins "noir / blanc" avec la réinsertion d'un autre jeune qui est montré a un moment et réussit moins à s'intégrer, à repartir alors qu'il a pedru son adolescence dans une piece fermée par des barreaux ? Enfin, la réinsertion de ce gamin est montré avec délicatesse : que ce soit la difficulté de vivre comme les autres alors que la moindre action "litigieuse" sera toujours jugée en votre defaveur, la difficulté de retrover des automatismes que l'on a pas, de vivre sur un mensonge nécéssaire pour ne pas être jugé et rejeter alors qu'on voudrait ouvrir son coeur à la personne qu'on aime, tout ceci est montré à travers une relation Andrew Garfield / Peter Mulan qui fait toute la force de ce film. On pourra être plus circonspect sur les flashback, qui nous montre comment ce petit gamin a derivée lentement avant d'arriver à la case prison : la faute aux autres ? c'est un peu facile mais bon, ce n'est aps le sujet principal du film qui aurait pu se contenter de jeter un voile pudique sur cet "avant" et plus se concentrer sur cet après, et plus particulièrement au moment ou son identité réelle est dévoilée : tous les fantasmes projeté sur ce "tueur sanguinaire" avec qui on buvait une bière deux jours avant sont effrayant et pourtant tellement humain, et plus compréhensible que la traque lancé par les médias une fois l lièvre soulevé. |
Première :
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Studio / Ciné Live :
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.O. L’itinéraire d’une rédemption sublimée par la révélation d’un jeune talent californien. Poignant. .O. |
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