Agathe Cléry
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Réalisateur : |
Etienne CHATILLEZ | ||
Acteurs : |
Valérie Lemercier, Anthony Kavanagh, Dominique Lavanant, Isabelle Nanty, ... | |||
Genre : |
Comédie | |||
Durée : |
1 h 55 | |||
Date de sortie : |
03/12/2008 | |||
Titre original : |
Agathe Cléry | |||
Note "critique" : |
1,00 | |||
Classement 2008 |
109 / 127 |
Résumé : |
.O xx |
.O Directrice de marketing dans une société de cosmétiques, Agathe est puissante mais pas aimée. Son racisme notoire ne lui vaut aucune sympathie. Le jour où la jeune femme apprend qu'elle est atteinte de la maladie d'Addison, elle est atterrée : cette maladie pigmente la peau en noir ! Sa blanche "supériorité" va en prendre un sacré coup ! Le racisme ordinaire dénoncé en chansons. .O. |
Xavier |
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.O. 06/12/2008 Après le nullissime « Gentille », j’avais un peu peur d’enchainer sur un second navet en deux jours, les critiques de ce dernier « Chatillez » ayant été plus qu’assassines alors que le réalisateur est plus habitués aux louanges qu’aux huées des journalistes (remember le très bon « Tanguy »). Le résultat ? un film déconcertant : l’histoire est niaise au possible et prévisible à 4000 km, les personnages tous plus caricaturaux les uns que les autres et les scènes de comédie musicale pas aidées par des chorégraphies digne de la pub « MAAF » accompagnée de paroles à 2 sesterces mais… mais… au milieu il y a Valérie Lemercier. Je n’ose pas imaginer le résultat si une autre actrice s ’était glissée dans ce rôle… surement une catastrophe digne d’un « Sa majesté Minor » pour un film postulant au Top10 des pires films de la décennie… mais là, il y a Valérie Lemercier, qui fait un one-women-show ahurissant qui sauve le film d'un 0 qui semblait inévitable… il aura donc un @ car ça ne mérite pas mieux mais chapeau quand même à cette actrice qui montre ce que c’est que de sauver un projet raté rien que par son talent. .O. |
Première :
¤
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Ciné Live :
:-( |
.O. Nous aurions aimé pouvoir écrire la critique d’Agathe Cléry. Mais son producteur a déclaré dans Le Monde avoir décidé de « choisir » les journalistes ayant le droit de le voir… il est du droit de chacun de ne pas nous montrer les films. Il est du notre de ne plus en parler. Ni aujourd’hui, ni demain. .O. |
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