T4xi
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Réalisateur : |
Gérard KRAWCZYK | ||
Acteurs : |
Samy Naceri, Frédéric Diefenthal, Bernard Farcy | |||
Genre : |
Comédie | |||
Durée : |
1 h 30 | |||
Date de sortie : |
14/02/2007 | |||
Titre original : |
T4xi | |||
Note "critique" : |
1,50 | |||
Classement 2007 |
60 / 128 |
Résumé : |
.O xx |
.O Ca chauffe de nouveau sur la cannebière ou me transfert d’un criminel met en émoi le commissariat de l’inspecteur Coutant. Il faudra tous les talents de son ami Daniel Morales, chauffeur de taxi, pour redorer le blason de la police. Cascades et gags au programme de ce 4ème épisode explosif. .O. |
Xavier |
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.O. 23/02/2007 Quand on regarde les gendarmes à Saint-Tropez, est-ce qu'on se dit que le scénario est nul ? Non : on rigole et on ne cherche pas plus loin ! Je ne comparerais pas Bernard Farcy et Louis de Funes (il ne faut pas abuser non plus), mais je ne comprends pas le déluge de critiques incendiaires sur ce taxi, 4ème du nom. Bien sur, il faut faire le deuil du N°1, qui ne sera jamais égalé car il avait l'avantage de la nouveauté, des personnages principaux bien plus nombreux etc... Mais si l'on regarde les suites, eh bien les français ne font ni plus ni moins que copier une recette que l'on accepte sans broncher pour les films américains : la suite qui vous sert sans surprise ce que vous êtes venus voir. Cette fois, nous venons voir Bernard Farcy, le fameux commissaire Gibert, qui serait l'équivalent de Rantanplan dans Lucky Luke : il veut bien faire mais est toujours à côté de la plaque. Cela donne lieu à une série de gags tous plus énormes les uns que les autres mais ça fait sourire, et si le scénario a décidé de mettre en veilleuse nos deux héros (Emilien le gentil flic et Daniel son acolyte chauffeur de taxi), si les femmes sont encore plus absentes (et si... même Petra fait de la quasi figuration), eh bien les scénaristes jouent habillement avec les codes du genre et profitent de nos sous-doués au travail. |
Première :
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Ciné Live :
0 |
.O. Après les Allemands, les japonais, les pères noël... les belges. Difficile de raconter l'intrigue, y en a pas. T4xi teste le seuil de tolérance du spectateur et envoie du gros : lourdeur d'un autre monde, casting en roue libre, émotion dégoulinante, éclairages hideux... Stop, c'est bon, on se rend. .O. |
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