Pars vite et reviens tard
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Réalisateur : |
Régis WARGNIER | ||
Acteurs : |
José Garcia, Lucas Belvaux, Marie Gillain | |||
Genre : |
1 h 55 | |||
Durée : |
Policier | |||
Date de sortie : |
24/01/2007 | |||
Titre original : |
Pars vite et reviens tard | |||
Note "critique" : |
2,00 | |||
Classement 2007 |
43 / 128 |
Résumé : |
.O xx |
.O A paris, des portes d’appartements sont mystérieusement peintes de symboles alors qu’un crieur des rues annonce une malédiction. Des cadavres sont découverts…. Le commissaire Adamsberg, que sa compagne vient de quitter, mène l’enquête. Une adaptation de Fred Vargas. .O. |
Xavier |
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.O. 19/02/2007 Ce n'est pas le titre qui m'a donné envie d'aller voir ce film (je le trouve un peu concon mais bon... passons), mais j'aime bien José Garcia, alors je me suis laissé tenter. Le résultat est un film bancal, qui oscille entre un bon casting masculin (mention spéciale à Michel Serrault qui pique la vedette à José Garcia) et un casting féminin loupé (il faut dire que les pauvres actrices n'ont vraiment pas grand chose à se mettre sous la dent), un début plutôt réussi et une fin interminable, des passages réussis et d'autres franchement ratés. Comme souvent dans les adaptations de livre, il serait intéressant de savoir ce qu'il y avait dans le bouquin, et ce qui a été transposé à l'écran pour pouvoir comparer. Mais nous sortir pour la n-ième fois le coup du commissaire qui est plaqué par sa copine et qui, du coup, perd son flair légendaire et traîne une mine de chien battu, on ne peut pas dire que ce soit original. A l'inverse, l'idée d'un crieur devant Beaubourg et l'apparition de ces mystérieux 4 inversés donne une tonalité au film assez intéressante puisque on se dit presque "et si ça arrivait" ce qui est toujours intéressant. Bref, il y avait de quoi faire un bon film, mais j'ai eu l'impression que Régis Warnier ne voulait pas prendre de risque, et à vouloir rester tranquillement dans les traces du polar "à la française", il lasse, et c'est assez déçu que l'on sort de la salle de cinéma. Dommage. |
Première :
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Ciné Live :
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.O. Un vent de folie douce et de mystère souffle sur le polar français et c'est à Régis Wargnier, la classe faite caméra, qu'on le doit. .O. |
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