Ghost Rider
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Réalisateur : |
Mark Steven JOHNSON | ||
Acteurs : |
Nicolas Cage, Eva Mendes, Wes Bentley | |||
Genre : |
Aventures | |||
Durée : |
1 h 50 | |||
Date de sortie : |
21/02/2007 | |||
Titre original : |
Ghost Rider | |||
Note "critique" : |
0,33 | |||
Classement 2007 |
119 / 128 |
Résumé : |
.O xx |
.O Un cascadeur vend son âme au diable pour sauver son père. Mais le prix à payer est lourd : chaque nuit, il devient Ghost rider, un chasseur à la poursuite des âmes échappées de l'enfer. Effets spéciaux en rafale pour le biker au crâne de feu, un héros de la toujours prolifique écurie Marvel. .O. |
Xavier |
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.O. 26/02/2007 Je ne suis pas fan des "comics" americains donc je ne suis surement pas très objectif mais franchement, je ne vois aps ce qu'il y a à sauver dans ce film : le film met 4 plombes à démarrer avec une longue partie pré "Ghost rider" dans les année 50 avec des cascades filmées à la va vite et une bluette qui tape déjà sur le système et ce n'est pas l'apparition du diable (ou la la... attention... ça fait peur : il ressemble a vous et moi mais quand il y a des éclairs - et il y en a beaucoup - on voit que son ombre est effrayante bouhhhh) qui rehausse le truc. On attend donc le retour aux années 2000 et là encore ça met du temps à s'emballer et lorsque ça commence c'est plus affligeant qu'autre chose : le Ghost Rider sauve la veuve et l'orphelin (bah oui on est aux USA) ! Le Ghost rider combat des super méchant aux super pouvoirs (le feu, la terre et l'eau) dans des combats de 12 secondes ! Le Ghost rider aime une journaliste mais il n'ose pas lui avouer ses pouvoirs secrets (ça vous rappel d'autres comics... bizarre...) ! Les méchants s'attaquent à ce point faible pour le faire plier (oh... ça vous rappel encore spidertrucmuche... vraiment étrange) !... |
Première :
¤
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Ciné Live :
0 |
.O. A part quelques jolis effets spéciaux (wow, les flammes !) et une nano seconde d'humour, cette histoire de motard fantôme est une telle idiotie qu'elle ferait passer des épisodes de "Buffy" pour un classique de la hammer. C'est dire d el dégré de grotesque de cette entreprise aussitôt née aussitôt morte. .O. |
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