Sauf le respect que je vous dois
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Réalisateur : |
Fabienne GODET | ||
Acteurs : |
Olivier Gourmet, Dominique Blanc, Julie Depardieu... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 30 | |||
Date de sortie : |
15/02/2006 | |||
Titre original : |
Sauf le respect que je vous dois | |||
Note "critique" : |
2,00 |
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Classement 2006 |
38 / 109 |
Résumé : |
.O xx |
.O Après des licenciements dans son entreprise et le suicide d'un salarié, la vie d'un homme de quarante ans bascule. Peu disposé à tout accepter, il se révolte. Le monde du travail et sa violence à travers des évènements banals : chômage, pressions abusives, licenciements. .O. |
Xavier |
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.O. 03/03/2006 Le sujet est difficile à aborder au cinéma mais la première partie du film est parfaitement réussie : si le patron à l'air "méchant" avec ses employé on ne peut s'empêcher de penser à des situations similaires dans la vie et donc s'identifier à ces personnages qui subissent, ne disant pas non de peur de se faire mal voir et d’être virés. Cela dure jusqu'au suicide d'un des employés (âme sensible s'abstenir car ce n'est pas fait d'une manière "classique"), et la réalisatrice se permet même d’égarer le spectateur dans ses certitudes : qui agresse, qui est agressé… la frontière est fine et Fabienne Godet ne tranche jamais. Tout serait parfait s’il n’y avait pas cette cavalcade et ces personnages secondaires dont on ne comprend pas toujours l’intérêt et le rôle. Olivier Gourmet se fait donc aider par 2 personnages féminins peu convaincants : si Julie Depardieu en journaliste passe encore ce n’est pas le cas de Marion Cotillard en "petite délinquante". Bref, un film salutaire pour la dénonciation d'un mal dont on parle rarement et qui évite d'être trop tranché dans sa première partie. Reste qu'à vouloir toucher un public plus élargi et donc en choisissant de mener la seconde partie sur le chemin du polar, le film perd de sa crédibilité. .O. |
Première :
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Ciné Live :
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.O. L'ouragan Olivier Gourmet dynamise le récit de cette rébellion contre la conformité, poignant sur le papier, inabouti faute d'une réalisation pas assez nerveuse. .O. |
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