Miami Vice, deux flics à Miami
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Réalisateur : |
Michael MANN | ||
Acteurs : |
Colin Farrell, Jamie Foxx, Gong Li... | |||
Genre : |
Policier | |||
Durée : |
2 h 15 | |||
Date de sortie : |
16/08/2006 | |||
Titre original : |
Miami vice | |||
Note "critique" : |
2,00 |
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Classement 2006 |
95 / 109 |
Résumé : |
.O xx |
.O Sonny Crockett et Ricardo Tubbs, deux policiers, mènent l’enquête sur l’assassinat d’un informateur. Ce qui les conduits à un réseau de trafiquants international, extrêmement puissant, à l’organisation sans faille. Les deux policiers parviennent pourtant à infiltrer le gang. La série télévisée portée à l’écran par le réalisateur de « Heat ». .O. |
Xavier |
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.O. 31/08/2006 Une énorme déception à la hauteur de l’attente du dernier Michael Mann qui retrouvait après « Collateral » Jamie Foxx. En voulant se la jouer « je ne fais pas des blockbuster comme tout le monde », Mr Mann a joué avec le feu et perdu : lorsqu’on va voir deux flics a Miami on s’attend a un truc qui bouge, ou il y a de l’action et (si possible) une histoire qui tiens la route a l’aide d’acteurs qui ont une certaine carrure. Enfin, je dis « on » mais je devrais dire « je » et personnellement je n’ai trouvé aucun de ces ingrédients dans ce film : le duo d’acteurs est sous-exploités et Mann s’intéresse surtout à Colin Farrell (pas convaincant) qui tombe amoureux de Gong Li (guère mieux) dans une histoire d’amour a deux sesterces… On se tourne alors vers l’action (Mann est quand même le réalisateur de « Heat » et de se célèbre fusillade !) et là encore il y a peu de choses a se mettre sous la dent… On regarde alors l’image en se disant que si c’est « beau » ça fera passer le temps et c’est encore une mauvaise pioche : je ne sais pas avec quoi Mann a tourné mais ses nuits sont « claires » et l’image est souvent celle d’une télé mal réglée plutôt qu’un écran de cinéma avec des couleurs pures. Bref, 2h15 d’ennui profond… si vous voulez tenter, vous êtes prévenu ! .O. |
Première :
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Ciné Live :
# # # |
.O. Un polar un peu handicapé par un scenario bateau et un parti pris technique contestable, mais sauvé par une belle histoire d'amour et une mise en scène virtuose. .O. |
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