Laurier blanc
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Réalisateur : |
Peter KOSMINSKY | ||
Acteurs : |
Alison Lohman, Michelle Pfeiffer, Renée Zellweger, Robin Wright Penn, Marc Donato... | |||
Genre : |
Drame | |||
Durée : |
1 h 50 | |||
Date de sortie : |
12/11/2003 | |||
Titre original : |
White oleander | |||
Note "critique" : |
1,50 | |||
Classement 2003 |
71 / 124 |
Résumé : |
.O xx |
.O Une adolescente est placée en famille d'accueil après que sa mère ait tué son compagnon. Dès ce jour, tout bascule pour la jeune fille. Encore sous influence de sa mère, elle tente de se reconstruire et change continuellement de foyer. Beau début de carrière pour la récente partenaire de Nicolas Cage dans "Les associés" de Ridley Scott. .O. |
Xavier |
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.O. 15/11/2003 Ce film à un énorme problème : Michel Pfeiffer "bouffe" littéralement tout le reste du casting qui n'est pourtant pas constitué de nouveaux venus : Renée Zellweger joue l'actrice suicidaire avec une mièvrerie vraiment exaspérante, Noah Wyle ( alias le Dr Carter ;-) ) a une voix vraiment bizarre en V.O. (mais bon.. ça on y peut rien :-p), Robin Wright Penn en catholique qui parle beaucoup mais ne suit pas vraiment ses actes n'est vraiment pas éblouissante et au milieu de tout cela, Alison Lohman, comme dans "Les associés" nous joue la petite fille de quinze ans plus ou moins innocente (elle à 24 ans en réalité, mais passons...) qui est trimballé de famille - toutes plus déglingué les unes que les autres - en famille et qui n'arrive pas a trouver quelqu'un sur qui se reposer puisque sa mère casse tout ce qu'elle entreprend de peur de la voir s'éloigner d'elle. Bizarrement dans ce film de femme, ce sont (mis à part M. Pfeiffer) les hommes qui tirent leur épingle du jeu : le mari de Robin Wright Penn, le gamin qu'Alison Lohman rencontre à la DASS, ce sont des personnages secondaires mais on à envie de s'attacher un peu plus à eux. Malheureusement, ce n'est pas le parti pris, et lorsque l'histoire s'approche de son dénouement, c'est pour accoucher d'une morale très puritaine : la mère comprend qu'elle fait le malheur de sa fille et choisi donc de s'effacer pour qu'elle trouve enfin sa liberté... Ce happy end est tellement contradictoire avec le reste du film que c'est assez pathétique... Ce « Laurier blanc » est donc assez trompeur et il ne réjouira que les grands amateurs de mélodrames.. dont je ne fais pas spécialement parti :-p .O. |
Première :
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Ciné Live :
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.O. Calvaire d'une Cosette moderne, un mélo qui manque de modération et de finesse au point de finir par susciter l'indifférence, malgré un casting de luxe. .O. |
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